Apicil investit dans le développement des robo-advisors avec Fundshop

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Après AXA Strategic Ventures, qui a investi 300 000 euros dans la fintech Fundshop en 2014, c’est au tour d’Apicil d’injecter 2,2 millions d’euros dans la jeune pousse. Une levée de fonds qui va permettre à Fundshop de booster son ascension.

FundShop, la fintech au service des institutions

Créée en 2013 puis lancée en 2015 par Leonard de Tilly et Florian de Miramon, Fundshop se distingue de ses pairs par ses services en marque blanche dédiés aux professionnels de l’assurance et des produits financiers en tout genre.
C’est cette offre BtoB qui a séduit les dirigeants d’Apicil. D’après Renaud Célié, directeur général adjoint du grand groupe français de protection sociale « FundShop s’inscrit dans des écosystèmes très vertueux de solutions efficaces et adaptables, à faibles contraintes et forte valeur ajoutée pour tous. Nous sommes heureux d’être à l’initiative de tels développements innovants dans nos métiers, et de nous inscrire comme toujours dans une dynamique agile et de croissance ».
Avec cette levée de fonds de 2,2 millions d’euros, Apicil partage la vision de Fundshop, celle de promouvoir les robo-advisors, ces « algorithmes conseillers » auprès des consommateurs français. En effet d’après une étude réalisée par Ipsos Mori pour HSBC, 64% des Français ignorent encore leur utilité, c’est pourtant un marché au développement prometteur car d’après cette même étude, plus de 22% des sondés estimeraient que les programmes informatiques prodiguent des conseils plus pertinents que l’humain.
 

Une levée de fonds pour partir à la conquête des professionnels

Cet investissement va permettre à la startup de séduire les Français. De 12 clients — des conseillers en gestion de patrimoine indépendants (CGPI) ainsi que des banques en ligne — elle espère arriver à 20 d’ici la fin de l’année. « Apicil partage notre vision BtoB sur laquelle nous avons fait nos preuves et leur arrivée devrait nous institutionnaliser davantage et contribuera à convaincre nos plus gros prospects de travailler avec nous » ajoutera Léonard Tilly.
Pour Renaud Célié, la startup a un bel avenir devant elle : « Nous nous positionnons à la fois comme un investisseur qui croit au potentiel de développement de cette jeune entreprise et comme un partenaire industriel ».
Pour y arriver, la startup va recruter et renforcer son équipe de 8 personnes. Mais cela ne s’arrête pas là puisque FundShop compte accompagner les professionnels dans leur projet d’innovation via un programme R&D révolutionnaire. Après la France, elle partira à ainsi à la conquête des Émirats Arabes Unis et d’un marché européen, qui devrait d’après Techfluence Research, être multiplié par 7 d’ici les 5 prochaines années.
 

Assurance-vie et épargne, des fonds en euros aux unités de comptes

À l’heure où les assureurs tentent tant bien que mal d’inciter les épargnants à miser sur les unités de comptes pour rentabiliser leur placement (selon la Fédération française des sociétés d’assurances, sur l’année 2015, seuls 20 % des investissements ont été placés sur les unités de compte, contre 80 % sur les fonds en euro), cet investissement va permettre à Apicil de convaincre ses clients, et ce sur tous ses canaux de distribution (Intencial, Gresham et son site internet).
En effet, avec l’assistance d’un robo-advisor, les épargnants pourront reprendre la main sur la gestion de leur épargne. Comment ? En centralisant l’ensemble des contrats d’assurance-vie contractés par l’épargnant sur une seule et même plateforme, le robo-advisor sera en mesure de lui proposer des placements en tenant compte de son profil patrimonial mais également de sa volonté de prise des risques, de gains ou de pertes.
« Compte tenu de la spécialisation de FundShop pour le BtoB, nous avons pensé que cette fintech était le partenaire idéal pour le groupe Apicil. Les équipes d’Apicil vont pouvoir ainsi optimiser leurs offres tout en gagnant en productivité et en accélérant la transition des fonds Euros vers les Unités de Compte », dixit Stéphane Olmi, Managing Partner de AEC Fintech (à l’origine de ce partenariat, NDLR).
 

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