Airudit, l’assistant vocal qui permet le dialogue avec l’intelligence artificielle

Contenu sponsorisé

Share on twitter
Twitter
Share on linkedin
LinkedIn

Airudit est une entreprise bordelaise à l’origine d’une interface vocale qui bouleverse les échanges avec un ordinateur et rend fluide le dialogue avec une intelligence artificielle. Une application « Speech to context » utile aux clients d’une banque comme dans une foule d’autres domaines.  

Depuis 10 ans, Airudit développe une interface vocale qui permet d’envisager le pilotage d’une machine à la voix. Oublié l’apprentissage de mots clés identifiables par le robot. Cette fois, il s’agit d’un dialogue fluide et naturel, sur la base du langage courant. « Nous sommes le seul acteur français à avoir cette maitrise de l’outil technologique, reconnaît le directeur commercial, Marc Bagur. Les autres fournisseurs intègrent des briques. »

Pour le salon de Las Vegas, l’équipe du fondateur Philippe Lebas, a réalisé un robot en forme de petit chien dont l’obéissance au doigt et a l’œil a connu un gros succès dans les allées du CET. Mais au-delà de l’outil de démonstration plutôt fun, ce chat GPT français de la voix, vise essentiellement un marché de professionnels qui a besoin d’assurer le contrôle d’un robot par la voix. « Notre logiciel fonctionnant en mode déconnecté. Il n’y a aucun modèle économique caché qui repose sur la récupération des données de nos utilisateurs. On ne sait même pas ce qu’ils font avec nos solutions, » prévient Marc Bagur. Embarquable sur une simple tablette, il permet une utilisation dans n’importe quel environnement en toute autonomie.

La solution livrée à Cofidis

Sur la dernière période la structure est passée de 5 à 25 collaborateurs, et la maîtrise intégrale de la chaîne technologique a été validée par des industriels comme Naval group, Dassault aviation ou Airbus. « Ce qui nous catapulte auprès de la DGA, parmi les intervenants de la nouvelle génération de prestataires pour l’avion de combat du futur, » confesse Marc Bagur.

Mais la technologie fait aussi le bonheur de secteurs moins industriels. La société de crédit Cofidis par exemple, a sollicité Airudit pour mettre à disposition de ses clients un assistant conversationnel, lorsque les plateformes sont fermées la nuit ou le week-end et assurer une continuité de service capable de traiter les requêtes. « On entre dans un métier avec une carte de la connaissance du métier, pour pousser la conversation avec l’assistant virtuel aussi loin que possible. Ce qui permet d’obtenir une compréhension globale de la conversation même si la question n’est pas posée et de rebondir à l’implicite. Par exemple si je dis : j’ai une grosse panne sur ma voiture qui vaut 7000 euros. L’assistant sait réagir avec une réponse du type : voulez-vous étudier un financement pour l’achat d’un nouveau véhicule ? »  Airudit a livré la solution à Cofidis, mais celle-ci n’est pas encore déployée.

Assistance au pilotage d’un avion ou d’une voiture, la technologie « est un super collaborateur 4.0 qui vient remplacer un clavier ou une souris, qui sait remplacer un mur d’écran pour aider à la prise de décision, » résume Marc Bagur. « La commande à la voix n’est pas que cosmétique ou confortable. Elle participe à un processus pour engager les utilisateurs sur des thématiques comme la qualité, la sécurité ou l’environnement en remplacement de procédures fastidieuses de saisie  qui désinvestissent l’utilisateur. »

Sur le plan environnemental, Airudit pose aussi la question du coût environnemental des dispositifs informatiques classiques « quand on propose de les remplacer par une petite puce et une interface de parole. »

Share on twitter
Twitter
Share on linkedin
LinkedIn

La newsletter

Abonnez-vous à notre newsletter, pour ne rien rater des grandes tendances et des transformations du secteur !