Et si la fintech renforçait finalement le rôle de l’humain?

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Robo-advisors, Assurtech, Regtech, … La révolution des métiers de la gestion d’actifs et de l’épargne est une réalité en marche que nul ne peut plus contester au vu du nombre de fintech qui ont émergé ces dernières années. Cette réalité suscite néanmoins de nombreux paradoxes et inquiétudes, aussi bien côté professionnels que côté clients, la principale étant la crainte de voir l’homme remplacé par le robot.

Fintech vs banquier :  qu’en est-il réellement ?

Il est évident que les tâches à faible valeur ajoutée vont être confiées aux machines et qu’en conséquence le secteur bancaire va connaître une réduction de ses effectifs, limitant ses recrutements à des profils à fortes valeurs ajoutées techniques et de savoir être. Les autres banquiers deviendront des « passeurs de plats » qui s’ennuient*, pris en tenaille entre l’application d’une réglementation de plus en plus tatillonne et une offre standardisée ayant justement pour objectif la minimisation du risque pour l’établissement distributeur.

Redonner du sens au patrimoine des français

Chez Cyrus conseil, nous avons constaté que nos clients demandent plus de personnalisation dans la relation, ils souhaitent vivre une nouvelle expérience leur permettant de redonner du sens à leur patrimoine. La digitalisation globale des secteurs d’activité a renforcé leurs exigences, ce qui nous impose de renforcer notre lien avec eux, d’entrer dans le registre de l’émotion et du plaisir de la rencontre et non plus seulement dans la gestion administrative. En venant nous voir, ils doivent passer un bon moment, se sentir accompagnés.

Data, pédagogie et recrutement : les piliers de la performance

Ce constat nous amène à relever 3 challenges qui passent essentiellement par plus de recrutements et donc plus d’humain. Le premier défi majeur qui attend l’industrie de la finance est celui du recrutement, de la formation aussi bien technique que de savoir-être et de la fidélisation des collaborateurs au parcours moins linéaire que dans le passé.
Le deuxième est celui de la pédagogie dans la restitution d’informations complexes et souvent anxiogènes (crises financières, préparation de succession…) : la relation sachant/client est révolue dans la gestion de fortune comme dans de nombreux domaines.
Enfin le dernier, peut être le plus important est celui de la maîtrise de la data qui nous permettra de mieux appréhender les besoins de nos clients, voir de les anticiper, grâce à une analyse quotidienne des informations que nos clients vont faire remonter notamment au travers des réseaux sociaux.
A une époque où la quête de sens est le dénominateur commun des collaborateurs comme des clients, il nous semble que ce serait une erreur majeure que de laisser des algorithmes remplacer l’homme quelque soit les progrès réalisés par l’intelligence artificielle et le secteur de la fintech. On pensait que le digital allait supprimer la relation humaine au contraire il va la renforcer, mais différemment.

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