Digitalisation des CGPI : robo-adviser ou humain ?

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A la veille de Patrimonia, la dixième édition du Baromètre du marché des conseillers en gestion de patrimoine indépendants (CGPI) de BNP Paribas Cardif a rendu son verdict : les clients CGPI aiment les robo-adviser. Ce qui est encore très exagéré.
À 31%, ces clients CGPI ont déjà entendu parler des « robo-advisers », un bon indice de notoriété compte tenu de leur nouveauté sur le marché français.
Leur usage est encore confidentiel : seuls 16 % d’entre eux seraient prêts à utiliser un « robo-adviser » en complément de leur CGPI. Et à ce stade, seuls 6 % des utilisateurs potentiels l’envisageraient en remplacement.
N’est-ce pas dans les vieux pots qu’on fait les meilleures confitures ?
En tous cas, 86% des réfractaires privilégient le contact humain et 65% font davantage confiance à l’expertise d’un CGPI. Côté CGPI, 52% envisagent les robo-advisors comme une opportunité d’optimiser leurs missions d’allocation d’actifs tandis que 35% estiment que ces plateformes viennent concurrencer leur activité.
Robot, malgré tout ?

En savoir plus

– 16% des clients des CGPI seraient prêts à utiliser des robo-advisers – Boursorama

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