Dealcockpit : le parcours atypique d’une legaltech française

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Créé en 2012, Dealcockpit est une startup indépendante basée en Dordogne fournissant des solutions d’échanges de documents sécurisés.

DealCockpit, vous connaissez ? C’est peu probable, sauf si vous êtes un spécialiste du rapprochement d’entreprises, un avocat ou un entrepreneur éveillé aux risques de cyber sécurité. La société est pourtant la seule solution purement française mise à disposition des professionnels de ces métiers très confidentiels des fusions et acquisitions pour échanger des informations stratégiques.

Start-up et indépendance

Lancée à Paris en 2012 par l’entrepreneure Fiona Fauvel, forte de sa longue expérience bancaire, et accompagnée de son associé “geek” Laurent Chretien, multi entrepreneur, DealCockpit est désormais implantée en Dordogne à quelques dizaines de kilomètres de la métropole Bordelaise. Un choix raisonné qui s’est construit dans un environnement porteur pour les éditeurs de solutions logicielles accessibles à distance (“SaaS”).

Créée d’abord sous le nom “Alterfina”, la société se destinait à tout autre chose, mais l’entrepreneure a saisi l’opportunité de fournir une solution d’échange de documents confidentiels (‘“dataroom”) pour les professionnels. Forte d’une labellisation Finance Innovation, l’entreprise a fait le choix de l’indépendance absolue. A contre-pied des start-ups fintechs qui lèvent des millions d’euros, l’entreprise a choisi d’autofinancer à la fois sa technologie et son développement commercial.

Une indépendance qui ne l’a pas empêché de construire une technologie propriétaire basée sur le framework Laravel et une infrastructure dite « as-code » portée par Terrafor, et d’investir chaque année pour améliorer la sécurité et l’expérience utilisateur pour ses clients professionnels ; une indépendance gage de sécurité pour ses partenaires.

Une success-story locale

Adoptée par plus de 20.000 utilisateurs, la solution logicielle s’est taillé une place à part dans un environnement concurrentiel accaparé par les éditeurs américains, moins sensibles à la protection des données et à l’expérience utilisateur. Ce petit poucet, au croisement de la “legaltech” et de la “fintech”, continue de tracer son petit bonhomme de chemin en cultivant une relation de proximité avec des clients fidèles depuis 10 ans.

Basée en Dordogne depuis 2 ans, la société s’y est implantée par choix de sa dirigeante, profitant des avantages de la démocratisation du distanciel imposé par le contexte sanitaire et de l’avènement des visioconférences qui remplacent désormais avantageusement les déjeuners parisiens. Un choix qui n’obère en aucune manière le développement de la société, bien au contraire. La plateforme, qui changera définitivement de nom pour ‘“DealCockpit” dans les semaines à venir, vient d’inaugurer son nouvel outil technologique, conservant l’avance qu’elle détient en termes de cybersécurité et de protection des données en France.

L’enjeu de la souveraineté numérique

Avec des clients implantés partout sur le territoire beaucoup plus qu’à Paris, la société est de facto un porte-drapeau de la souveraineté numérique : “Lorsque la banque Lazard a été mandatée pour la vente de l’ADIT (Agence d’Intelligence Économique, originellement créée par l’Etat), nous avons été les seuls à offrir une solution de sécurisation des données en France, avec une technologie française” commente Fiona Fauvel, qui établit désormais des partenariats spécifiques sur les sujets ayant une sensibilité stratégique pour l’Etat.

La dirigeante constate aussi que l’usage de la sécurisation des échanges de données documentaires se démocratise dans tous types d’opérations – ce qui est essentiel pour la protection juridique, cyber et économique des données de l’entreprise. La solution protège la valeur intrinsèque des actifs de l’entreprise. Une évolution qui élargit largement le spectre des clients potentiels dans un contexte de recrudescence des attaques informatiques.

DealCockpit restera le petit David français face aux Goliath américains, mais milite avant tout pour la sécurisation des échanges dans les opérations stratégiques et une prise de conscience massive du coût des “data breach” pour les entreprises. Une culture qui doit désormais irriguer tout le tissu économique…

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