Inédite : une assurance décès pour le versement du loyer

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Michel Derhi, président de Process Finance, lance une assurance très simple pour garantir le loyer en cas de décès. Explications.  

« Dans l’école de mes enfants, nous avons vécu le cas d’un papa qui est décédé du covid. La maman s’est retrouvée dans une situation très délicate. Cette famille était locataire donc aucune assurance ne prévoyait la prise en charge du loyer en cas de décès. » Contrairement à l’assurance décès invalidité obligatoirement souscrite en cas d’accession à la propriété et qui permet au conjoint survivant de ne plus contraint de payer les mensualités d’un prêt. « Dans le cas particulier, les parents de l’école se sont cotisés pour soutenir cette maman pendant la période difficile. Mais j’ai constaté qu’il y avait un vide sur la protection de la famille d’un locataire en cas de décès. »

Plutôt spécialisé dans le rachat de crédits et l’intermédiation bancaire, Michel Derhi travaille habituellement le B to B. Cette fois, il change de cible en créant Localm, avec l’appui d’une compagnie américaine MetLife. « Eux aussi ont constaté qu’il y avait un vide sur le marché et ont donc décidé de s’intéresser au sujet. »

Assurable jusqu’à 81 ans

 La souscription à Localm, totalement dématérialisée, propose trois formules. Un premier niveau à 7,95 euros par mois permet de percevoir 500 euros pour assurer son loyer, pendant 4 ans, en cas de décès ou invalidité.  Un deuxième niveau à 9,95 euros permet de couvrir un loyer de 750 euros toujours pendant quatre ans. Enfin, pour 11,95 euros c’est un loyer de 1000 euros qui est couvert pendant la même période.

« Nous avons retenu ce délai de quatre ans, considérant que c’était un délai raisonnable pour se retourner et envisager une solution de relogement, » prévoit Michel Derhi. Localm couvre aussi, pour le même prix, une protection juridique en cas de litige avec le propriétaire.

« Le produit présente aussi un gros avantage pour le propriétaire qui est assuré de continuer à percevoir son loyer. »  Du coup, l’inventeur du concept envisage des nouer des partenariats avec des des bailleurs sociaux et des sociétés de gestion locative pour qu’elles puissent proposer l’assurance en direct. Commercialisée depuis début mai, Localm a déjà séduit une centaine de souscripteurs. « C’est encourageant. Ca veut dire que le besoin identifié et la solution proposée sont en adéquation avec le marché. » L’âge maximum de souscription est de 65 ans. Une déclaration simple de santé suffit. Le locataire est assurable jusqu’à 81 ans.

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